Art bouddhique

L'art bouddhique naît dans le sous-continent indien, certainement durant les siècles suivant la mort du Bouddha historique ou Gautama Bouddha, quoique ses premières manifestations attestées par des découvertes archéologiques semblent dater du règne d'Asoka.



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L'art bouddhique naît dans le sous-continent indien, certainement durant les siècles suivant la mort du Bouddha historique ou Gautama Bouddha (VIe siècle av. J. -C. et Ve siècle av. J. -C. ), quoique ses premières manifestations attestées par des découvertes archéologiques semblent dater du règne d'Asoka. Une première phase, principalement indienne, nommée phase aniconique, pendant laquelle la personne du Bouddha est évoquée par des symboles, est suivie vers le Ier siècle d'une phase iconique pendant laquelle apparaissent des représentations anthropomorphiques du Bouddha. Cette seconde phase apparait simultanément en Inde et dans un autre foyer artistique important, né aux environs du début de l'ère chrétienne sur le territoire du royaume indo-grec puis de l'empire Kouchan, dont la production la plus remarquable est l'art gréco-bouddhique du Gandhara. À partir de cette époque, l'art bouddhique se diversifie, absorbant les influences culturelles rencontrées dans les contrées où la doctrine de Gautama se diffuse : en Asie centrale et orientale (route du nord)  ; à Sri Lanka et en Asie du Sud-Est (route du sud). En Inde, l'art bouddhique connait un grand développement et laisse sa marque sur la totalité de l'art hindou jusqu'à la quasi-disparition du bouddhisme au Xe siècle devant l'expansion de l'hindouisme et de l'islam.

La période aniconique (du Ve siècle av. J. -C. au Ier siècle av. J. -C. )

Le Grand Stûpa de Rânchî, Sanchi

Les premières manifestations de l'art bouddhique remontent au règne de l'empereur Ashoka de la dynastie Maurya (-322 à -180), qui voit la construction de nombreux stupas comme celui de Sanchi et l'érection de colonnes exortant au respect de l'ensemble des créatures ainsi qu'à l'acceptation des enseignements du Bouddha. Elles sont surmontées de chapiteaux en forme d'animaux (typiquement, des lions) et décorées d'autres symboles bouddhiques comme la roue du dharma.

Entre le IIe siècle av. J. -C. et le Ier siècle av. J. -C. , les sculptures deviennent plus explicites, représentant des épisodes de la vie de Gautama et ses enseignements sur des tablettes votives ou des frises, fréquemment en relation avec la décoration des stupas. Malgré la longue tradition indienne en matière de sculpture, manifestant la maîtrise d'une riche iconographie, le Bouddha ne fut longtemps représenté que par des symboles, dont les plus communs sont :

Empreinte de pied du Bouddha. Ier siècle, Gandhara.
  • La Roue du Dharma ou Roue de la loi (skt. dharmacakra), symbole des Quatre Nobles Vérités.
  • L'Arbre de la Bodhi (éveil) , sal sous lequel le Bouddha atteignit l'illumination ; ce thème trouve peut-être des antécédents non bouddhiques dans les rites de fertilité et les représentations de l'arbre de vie.
  • L'Empreinte de pied du Bouddha (skt. Buddhapada) représentant l'impact de ses enseignements sur le monde.
  • Le Trône vide.
  • Les Lions, symbole de sa royauté. Le Bouddha était nommé le lion des Shakyas au cours de la période Ashoka, aussi ce symbole était-il présent sur les colonnes bouddhiques que l'empereur avait fait dresser sur la totalité du territoire indien.
  • Les Colonnes surmontées d'une roue, symbole de son enseignement.
  • Le Lotus, symbole de la pureté et de la nature intacte du Bouddha, pour la beauté de sa fleur et l'impossibilité pour l'eau d'y adhérer, le laissant sans tache.

Cette réticence envers la représentation anthropomorphique du Bouddha et le recours à un dispositif particulièrement élaboré de symboles aniconiques, même dans des narrations picturales où apparaissent d'autres personnages humains, semblent être liés à une de ses paroles rapportée dans le Digha Nikaya, qui interdit qu'on le représente après la disparition de son corps. Cette tendance persista jusqu'au IIe siècle dans les parties méridionales de l'Inde ; on la retrouve par exemple dans l'école d'Amaravati (voir Le démon de Mara). Certains historiens ont proposé qu'il ait tout de même existé des représentations anthropomorphiques du Bouddha en bois, disparues avec le temps. Cependant, aucune découverte archéologique n'est toujours venue confirmer cette théorie.

Période iconique (depuis le Ier siècle av. J. -C. )

Les représentations antropomorphiques du Bouddha ont commencé à apparaître vers le Ier siècle au nord et au nord-ouest de l'Inde. Les deux principaux centres de création étaient Gandhara au Penjab actuel (Pakistan) et Mathura au nord de l'Inde. Il existe deux théories concernant l'origine de cette innovation : elle résulterait soit d'une évolution intrinsèque de l'art bouddhiste indien à Mathura, soit de l'influence de la culture grecque à Gandhara à travers le syncrétisme gréco-bouddhique.

L'art de Gandhara bénéficia de siècles d'interaction avec la culture grecque depuis les conquêtes d'Alexandre le Grand en -332. La création des royaumes gréco-bactrien et indo-grec conduisit au développement de l'art gréco-bouddhique. La sculpture bouddhique de Gandhara montre l'influence de l'art de la Grèce antique et certains spécialistes ont aussi suggéré qu'elle exprime le concept d'homme-dieu inspiré de la mythologie grecque. Les cheveux ondulés, l'habit drapé couvrant les deux épaules, les chaussures et les sandales, les motifs hellénistiques telles que les feuille d'acanthe sont caractéristiques de l'école de sculpture de Gandhara et seront repris par d'autres écoles.

L'art de Mathura était basé sur de fortes traditions indiennes connaissant la représentation anthropomorphique de divinités (Yaksas, par exemple), mais dans un style assez archaïque comparé aux futures représentation du Bouddha. Les caractéristiques de l'école de Mathura sont l'habit ne couvrant que l'épaule gauche, le traitement des plis des robes donnant une apparence de fine mousseline, la roue dans la paume de la main, la posture du lotus.

Mathura et Gandhara se sont fortement influencées l'une l'autre. À l'époque de leur épanouissement artistique, les deux régions étaient d'ailleurs réunies politiquement dans l'empire Kushan, dont les deux cités étaient simultanément capitales.

L'art iconique fut caractérisé dès le début par un parfaitisme réaliste, combinant des représentations humaines réalistes (dans les proportions, les attitudes et les attributs) avec une idée de la perfection et de la sérénité conduisant au divin. L'expression du Bouddha à la fois comme homme et dieu devint le canon iconographique pour la majorité des représentations de l'art bouddhique.

Bouddha debout, Gandhara, Ier

L'art bouddhique continua de se développer en Inde pendant plusieurs siècles. Les sculptures en grès rose de Mathura atteignirent sous l'empire Gupta (IVe-VIe siècle) une très grande finesse d'exécution et une remarquable délicatesse dans le modelage. L'art de l'école Gupta exerça une grande influence en Asie. Néanmoins, à partir du Xe siècle, le recul du bouddhisme devant l'hindouisme et l'islam entraîna le déclin de l'art bouddhique indien.

Le bouddhisme s'étendit en dehors de l'Inde à partir du Ier siècle av. J. -C. . Son style artistique original se mêla avec d'autres influences, entraînant une différenciation progressive selon les pays.

Art bouddhique du nord

La transmission du bouddhisme le long de la route de la soie vers l'Asie centrale, la Chine, la Corée et le Japon aurait commencé au Ier siècle si on en croit la mention d'une ambassade (peut-être légendaire) envoyée vers l'ouest par l'empereur chinois Mingdi (58-75). Les contacts s'affirmèrent au IIe siècle, certainement grâce à l'expansion de l'empire Kouchan dans le territoire chinois du bassin du Tarim, avec les voyages missionnaires de la plupart de moines d'Asie centrale. Les premiers traducteurs des sutras en chinois, Lokaksema par exemple, étaient parthes, kouchans, sogdiens ou koutchéens.

Les expéditions missionnaires le long de la route de la soie furent accompagnés d'un flux d'influences artistiques, visibles dans le développement de l'art serindien du IIe au XIe siècle dans le bassin du Tarim (actuel Xinjiang). Cet art dérive fréquemment de l'art gréco-bouddhiste du district de Gandhara (actuel Pakistan), et combine des influences indiennes, grecques, romaines et persanes. Ces influences se retrouvent jusqu'au Japon aujourd'hui, dans les motifs architecturaux, l'imagerie bouddhiste et la représentation des dieux japonais.

L'art de la route du Nord fut aussi particulièrement influencé par le développement du bouddhisme mahayana. Tandis que le bouddhisme originel prônait un travail sur soi-même de détachement de la souffrance pour atteindre l'illumination personnelle et le statut d'arhat, sans l'aide d'aucune divinité, le mahayana réintroduit le recours à des figures quasi-divines, les bodhisattvas et le (s) bouddha (s), envers qui le fidèle fait preuve de dévotion. L'art bouddhiste du nord est par conséquent caractérisé par un panthéon particulièrement riche et syncrétique, avec une grande variété d'images de bouddhas, bodhisattvas et autres déités moindres.

Afghanistan

Bodhisattva provenant d'un monastère bouddhiste, 700, Afghanistan

L'art bouddhique en Afghanistan (ancienne Bactrie) persista pendant plusieurs siècles jusqu'à l'arrivée de l'islam au VIIe siècle, comme en témoignent les Bouddhas de Bamiyan. D'autres sculptures en stuc, schiste ou argile montrent un très fort mélange entre l'art indien post-Gupta et l'influence classique hellénistique et même gréco-romaine. L'islam prohiba l'art antropomorphique et l'art bouddhique, dont les sujets étaient vus comme des idoles, subit de nombreuses attaques, les dernières étant les destructions systématiques du régime taliban. Les bouddhas de Bamiyan, les sculptures de Hadda et énormément d'œuvres des musées afghans furent détruites. Avant même l'avènement du gouvernement taliban, les conflits multiples durant depuis les années 1980 avaient favorisé le pillage systématique des sites archéologiques et la fuite d'œuvres afghanes vers le marché noir mondial.

Asie centrale

L'Asie centrale a longtemps joué le role de carrefour entre la Chine, l'Inde et la Perse. Au cours du IIe siècle av. J. -C. , l'expansion des Han vers l'ouest intensifia les contacts avec les civilisations hellénistiques d'Asie, en particulier le royaume gréco-bactrien.

Art serindien, terre cuite du VIe ou VIIe siècle, Tumshuq (Xinjiang)

Plus tard, l'expansion du bouddhisme vers le nord mena à la formation de communautés, et même de royaumes bouddhiques en Asie centrale. Quelques villes de la route de la soie étaient constituées seulement de stupas et de monastères, et il semble que leur principal objectif était d'accueillir les voyageurs transitant entre l'est et l'ouest . La partie orientale de l'Asie centrale ou Turkestan chinois (bassin du Tarim, Xinjiang) surtout a révélé un art serindien extrêmement riche (nombreuses grottes contenant des peintures murales et des bas-reliefs, peintures portatives sur toile, sculptures, objets rituels), montrant des influences indienne et hellénistique. Ces œuvres rappellent le style de Gandhara ; des textes en caractères gandhari Kharoshti ont d'ailleurs été retrouvés. Ces influences furent rapidement assimilées par la culture chinoise.

Chine

Pièce d'autel représentant Maitreya (Dynastie Wei du Nord (386–534), 524, Hebei, Chine)

Quoiqu'on ait retrouvé des traces d'incursions de missionnaires en Chine au cours du règne du roi Ashoka, on fait habituellement remonter son introduction officielle à l'année 67 qui vit l'arrivée des moines Moton et Chufarlan. En 68, sous patronage impérial, ils établirent le Temple du Cheval blanc (???) près de la capitale Luoyang ; reconstruit, ce temple existe toujours. À la fin du IIe siècle, une communauté bouddhique prospère était établie à Pengcheng (actuel Xuzhou, Jiangsu). L'influence de cette religion crût progressivement, et avec elle la présence d'un art bouddhique qui prit vite des traits originaux, devenant spécifiquement actif et créatif au VIIIe siècle, en particulier dans le domaine de la statuaire.

Dynasties du Nord

Aux Ve et au VIe siècle les dynasties du Nord, plutôt éloignées des sources originelles d'inspiration, eurent tendance à développer des modes de représentation symboliques et abstraits, avec des lignes schématiques. Leur style est aussi décrit comme solennel et majestueux. Le manque de corporalité de cet art, et sa distance comparé à l'objectif originel du bouddhisme (exprimer l'idéal de l'illumination d'une manière réaliste et accessible), mena progressivement à une recherche de plus de naturalisme et de réalisme, conduisant à l'expression de l'art bouddhique Tang.

Dynastie Tang

Après une période de transition sous la dynastie Sui, la sculpture bouddhique de la dynastie Tang évolua vers une expression plus réaliste. L'ouverture aux influences étrangères et la reprise des échanges avec la culture indienne grâce aux voyages de moines chinois en Inde entre le IVe et le XIe siècle la fit évoluer vers une forme plus classique, inspirée de la période indienne Gupta. La capitale Chang'an (actuelle Xi'an) devint un centre important du bouddhisme, d'où il s'étendit vers la Corée puis vers le Japon.

Cependant, les influences étrangères étaient par épisodes mal perçues. En l'an 845, l'empereur Tang Wuzong interdit l'ensemble des religions "étrangères", parmi lesquelles le nestorianisme, le zoroastrisme, le manichéisme et le bouddhisme, pour promouvoir la religion autochtone, le taoïsme. Il confisqua les possessions bouddhiques, et força cette religion à devenir clandestine durant presque deux ans. Cette brève période d'interdiction et les autres aléas que le bouddhisme eut à subir durant la période de transition des Tang aux Song ne l'empêcha pas de continuer à influencer le paysage religieux et artistique. La dynastie Song (1127-1279), fut une autre période spécifiquement favorable au bouddhisme, représenté en majorité par les courants chan et jingtu. Les monastères chan étaient des centres de savoir et de culture, et l'art bouddhique rencontra une nouvelle apogée.

Généralement, la popularité du bouddhisme en Chine a fait de ce pays le détenteur d'une des plus riches collections d'art bouddhique. Les grottes de Mogao près de Dunhuang au Gansu, les Grottes de Longmen près de Luoyang auHenan, les grottes de Yungang près de Datong au Shanxi et les sculptures rupestres de Dazu près de Chongqing sont parmi principaux et célèbres sites sculpturaux. Le bouddha géant de Leshan, sculpté dans une colline à la confluence de trois rivières au VIIe siècle (dynastie Tang), reste la plus grande statue de bouddha au monde.

Corée

Le bouddhisme y fut introduit au VIe siècle, légèrement plus tard qu'en Chine. L'art bouddhique coréen, où les influences de la Chine et l'art des steppes se mêlent, reflète l'interaction entre le bouddhisme chinois et une forte culture coréenne autochtone. Le style de cet art est géométrique, abstrait et richement orné, avec un luxe caractéristique des «barbares». Selon Pierre Cambon[1], il «montre une sobriété, un goût du juste ton, un sens de l'abstraction mais également des couleurs qui est curieusement proche des goûts contemporains».

Japon

Icône de détail Article détaillé : Art japonais.

(... )

Au milieu du IVe siècle, un roi coréen offre au souverain japonais de l'époque une statue de bouddha et plusieurs orémus (?) de Gautama Bouddha. Les premiers moines chinois et coréens qui arrivent au Japon sont des maîtres de la culture et des beaux-arts. Les premières peintures et sculptures remarquables sont des œuvres bouddhiques.

À la fin du VIIe siècle (impératrice Suiko), le prince Shôtoku, régent converti au bouddhisme, cherche à imiter le roi indien Açoka en faisant la promotion du bouddhisme au Japon. Il invite des moines et artistes du continent (Corée, Chine) pour construire des temples et développer la religion. Un des premiers artistes venus est le peintre coréen Dusio, qui eut énormément d'élèves. Kôbô Daishi, lettré versé en calligraphie, traverse la mer pour faire ses études en Chine et revient ensuite fonder l'école shingon.

Pourtant, les nouveautés des centres culturels du continent ne parvenaient pas souvent sur l'archipel, du fait des difficultés du transport. Les artistes japonais cherchèrent des modèles dans leur propre nature et leur réalité sociale, développant ainsi une forte identité artistique, évitant l'imitation servile de l'art étranger. D'autre part, le relatif isolement géographique du Japon permit aux œuvres d'être protégées des destructions de guerre.

Indonésie

En Indonésie, les premières traces avérées d'adoption de modèles culturels indiens datent des alentours de 450 après J. -C. Du VIIIe au XIIIe siècle, la puissance dominante de l'ouest de l'archipel est la cité-état de Sriwijaya (située à l'emplacement de l'actuelle Palembang) dans le sud de Sumatra, qui contrôle le trafic maritime du détroit de Malacca. La religion officielle de Sriwijaya est le bouddhisme Mahayana et Vajrayana.

Détail de bas-relief de Borobudur
Statue de Prajñāpāramitā du temple de Singhasari, Java Est

Des vestiges architecturaux extrêmement riches et raffinés se trouvent à Java. The most magnificence is the temple of Borobudur (the largest Buddhist structure in the world, built from around 780-850 AD). This temple modeled after Buddhist concept of universe, the Mandala which counts 505 images of the seated Buddha and unique bell-shaped stupa that contains the statue of Buddha. Borobudur is adorned with long series of bas-reliefs narrated the holy Buddhist scriptures. The oldest Buddhist structure in Indonesia probably is the Batu Jaya stupas at Karawang, West Java, dated from around 4th century AD. This temple is some plastered brick stupas. However, Buddhist art in Indonesia reach the golden era during the Sailendra dynasty rule in Java. The bas-reliefs and statues of Boddhisatva, Tara, and Kinnara found in Kalasan, Sewu, Sari, and Plaosan temple is very graceful with serene expression, While Mendut temple near Borobudur, houses the giant statue of Buddha, Avalokiteshvara, and Vajrapani.

The most beautiful classical Javanese art is the serene and delicate statue de Prajnaparamita (collection du National Museum Jakarta) the goddess of transcendental wisdom from Singhasari.

À Sumatra, on trouve les temples de Muara Takus et de Muara Jambi.

Notes et références

  1. Pierre Cambon, Arts asiatiques, Guimet

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